Le monologue pour parler du 11 septembre 2001. Le drame de la parole issue du disparu: à propos de «Je rien Te deum» de Fabrice Melquiot et «Trois semaines après le paradis» d'Israël Horovitz - Université d'Artois Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue revue Figura Année : 2010

Le monologue pour parler du 11 septembre 2001. Le drame de la parole issue du disparu: à propos de «Je rien Te deum» de Fabrice Melquiot et «Trois semaines après le paradis» d'Israël Horovitz

Françoise Heulot-Petit

Résumé

Parler du 11 septembre 2001, c’est évoquer le choc de quelques minutes qui ont frappé des corps et des mémoires, c’est essayer de formuler la brièveté d’une expérience vivante qui ne laisse plus de place aux mots. L’événement touche des humains et semble, au premier abord, bloquer la pensée rationnelle. Comme tout fait historique majeur, il est pourtant sujet à analyses, mais ses conséquences directes restent souffrance et incompréhension. Or, des auteurs dramatiques ont tenté de traduire les actions, les sentiments et les pensées de ceux qui ont vécu la catastrophe. Nous allons nous attacher à deux d’entre eux.
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Françoise Heulot-Petit. Le monologue pour parler du 11 septembre 2001. Le drame de la parole issue du disparu: à propos de «Je rien Te deum» de Fabrice Melquiot et «Trois semaines après le paradis» d'Israël Horovitz. revue Figura, 2010, Fictions et images du 11 septembre 2001, 23. ⟨hal-03189530⟩
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