, A la suite de François Dubost, je ne comprends pas ici dans le terme « géant » les colosses débonnaires de la littérature médiévale, mais les seules figures maléfiques (Aspects fantastiques de la littérature narrative médiévale, 12-13 èmes siècles. L'Autre, l'Ailleurs, l'Autrefois, p.570, 1991.

R. Barjavel, Paris, Gallimard « Folio, pp.23-24, 1984.

M. Z. Bradley, Les Dames du Lac 1 (The Mists of Avalon, 1982), trad. Brigitte Chabrol, Pygmalion-Gérard Watelet, p.324, 1986.

S. Lawhead, . Merlin, and . Carissimo, Buchet-Castel, p.127, 1997.

B. Simonay, L. Crépuscule, and . Géants, , 1995.

R. Paris and . Laffont, , 1969.

, est alors la parodie, qui nous permet au moins de rire de la vanité de ce regret, qui s'impose comme la réserve naturelle pour les « derniers des géants